C'est très mal écrit!!!!!! Mais c'est pas grave, ce sont des choses qui arrivent quand on essaie de faire de la grande prose de coin de comptoir de bar obscur enfumé par les pots d'échappement. Donc, cela va comme suit et la fin est beaucoup trop abrupte:
Nous avons trinqué, ce jour-là, à notre dernière journée d'alcooliques professionnelles. Quoi de mieux qu'un pichet de sangria pour commencer notre nouvelle vie sans alcool? C'était une entreprise bien éphémère par contre, juste un test pour mesurer notre résistance. Nous avons replongé dès la semaine suivante. Il faisait beau chez Baptiste et Mont-Royal grouillait de monde. De jeunes professionnels refaisaient le monde selon de brillantes théories marketing. Nous buvions et c'est tout. Nous buvions à la santé de Stéphane Dion. Ce petit lutin libéral qui m'avait enlacée sur la rue Sherbrooke, quelques heures auparavant. Ah, tout le ridicule de cette situation!
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