dimanche 17 janvier 2010

Certaines vies d'autrefois me manquent même si je sais pertinemment qu'elles sont révolues. Il me manque l'envie d'aller de l'avant. Quelqu'un a douloureusement fait remarquer ce qui manque : l'estime.

On ne vaudra jamais rien si n'y croit pas un tout petit peu.

Huit ans de plaies à panser. Rejet, rejet. Ce soir, je m'en fous. Un bat et deux clopes, amplement de vin, des envies remontent, freinées par les fantômes.

Ostis de fantômes qui traînent, qui empêchent les autres d'approcher.

4 commentaires:

owidigo2 a dit...

aaah, ce monde qui a peur des fantômes. Il faut le laisser dans sa cachette ce monde. Le vrai monde est celui capable de vivre avec les éctoplasmes.

mjo a dit...

Soit le hasard est grand, soit quelqu'un ici est très doué pour les recherches internet... ;-)

Il faut vivre avec ou faire comme s'ils n'étaient pas là, ça dépend des jours.

owidigo2 a dit...

:-)
en effet mjo, très bien dit. Ya des jours où, pour avancer, on a pas le choix de se contenter de vivre en ne tenant pas compte du passé. Ça dépend de la chimie de la journée. Sacré mixture que cette vie.

Hey, je viens de voir qu'on a une amie en commun, Iris. C'est mon ancienne coloc. Ben coudonc.

J'irai voir tes autres blogs bientôt.

mjo a dit...

Iris : fan seulement...

Même si en fait, on a quelques connaissances en commun. J'ai réalisé ça en visitant ton blog!

Hochelaquoi est le projet de fond avec pas encore un beau fond :) Ici, c'est euh, la p'tite vie, mettons!