mercredi 21 juillet 2010

De la vulgarité

Santé! (Tchin tchin)

Santé!... et bien-être social!

Santé!... moi'l'cul!

Santé!...mentale!

Oh boy.

mardi 20 juillet 2010

« Quand un regard se fait insistant, je me retourne toujours pour vérifier qu'il n'y a pas erreur sur la personne, qu'il n'y a pas quelqu'un d'autre que l'on regarde derrière...

Trois fois sur quatre, il y a quelqu'un derrière...

Mais de temps en temps, c'est pour moi! »

- métro McGill, matin morne.

lundi 19 juillet 2010

6 noches

Il reste 6 dodos...

il faut donc :

- se faire vacciner
- changer de l'argent
- acheter un guide de voyage
- trouver du linge mettable
- respirer par le nez

mercredi 14 juillet 2010

Stop?

J'ai envie de devenir quelqu'un d'autre...

mardi 13 juillet 2010

Micro venin qui n'a pas tourné sept fois avant d'être lancé

 Ça ne changera absolument rien mais ça laisse un petit baume et peut-être que ça aura donné à réfléchir. Les mots font peur mais il faut parfois les utiliser à bon escient - gants blancs et phrase en suspend sont de mise pour effet assuré :
« T'es pas un chien sale mais... »

Et puisque ça n'aurait rien changé, ça a le mérite de clarifier.

Sweet summer.
De la sortie du cocon au retour moite en ville, quelque part dans la vraie vie et dans la peur du métro, la peur du vélo.

Pieds collés. Nez levé.

Montréal des chaleurs interminables de l'été et du vent chaud qui ne soulage rien. Vrille au ralenti : ville au soleil, la ville de sueur et de goudron qui laisse sur la peau sa pellicule noire de suie.

Patience

Le téléphone ne sonne pas beaucoup. Tout en suspend, été.  
On se rassied derrière le bureau et on compte : encore dix jours ouvrables avant de repartir pour deux semaines. On espère que le téléphone ne sonnera pas, on espère que tout gardera le cap, on a déjà hâte de repartir, déjà hâte à la rentrée pour enfin pouvoir dire : « Je suis étudiante » et non plus « Je travaille dans un OBNL pour les personnes atteintes de ... Je n'ai pas de diplôme dans ce domaine et je n'aime pas particulièrement mon milieu de travail mais ça paye l'épicerie, le loyer, le dentiste, etc. »

C'est le problème de ceux qui ne disent jamais totalement et ouvertement ce qu'ils pensent : ils sont rarement heureux plus que quelques minutes. Peut-être qu'il vaut mieux ne rien dire. La suranalyse, la paranoïa, la colère ne font qu'user, ne valent rien, rien, rien. Victimisation? Rien, rien, rien. Alors woush woush, on se bouge, on se paie des vacances, on se sauve pour vivre un peu parce que la ville étouffe et parce que lorsqu'il reviendra, ce ne sera ni vers moi, ni chez moi. Ce n'était qu'une pratique supplémentaire, juste un ajout à la liste. Cette liste qui s'allonge, à laquelle s'est ajouté un drôle de numéro venu de loin, loin derrière juste pour taquiner.

Les interractions se font rares, c'est pas la faute à quelqu'un, c'est la faute au hasard. Il faut bien vivre sans trop se poser de questions. Parler est une défense envahissante. Le discours des autres intimide, est trop profond, trop poussé. Tellement poussé qu'il en devient du vent, de l'inutile, du futile.

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Je suis un être égoïste. Il a fallu 27 ans pour que je le réalise et ça fait un peu mal. C'est peut-être la faute au boulot, c'est sûrement juste ma faute, c'est peut-être juste comme ça mais parfois, j'en ai marre d'être empathique de 9 à 5, ça m'enlève toute envie de l'être dans ma vraie vie et de m'intéresser réellement (et correctement) à ceux qui m'entourent. Constat fort désagréable.

lundi 12 juillet 2010

Marcher, pédaler, suer. Marcher, pédaler, suer. Se baigner, lire, dormir.

Pending

Ce sera le Costa Rica.

Art : faire du beau ou innover?