vendredi 5 janvier 2007

Prise trois

Le passage du train se répète. Mais cette fois, il y avait un petit quelque chose de Jack l'éventreur dans ce fracas de métal. Du brouillard. Du brouillard qui nappait les clôtures et les pelouses. Du brouillard qui enlaçait mes chevilles frileuses. Du brouillard qui masquait la vue. Des sons étouffés et mes talons qui claquaient sur le pavé humide.

On s'engouffre dans le métro en se demandant où peut bien être janvier...

1 commentaire:

Catherine Pépé a dit...

Bon, le lien est difficile à faire avec ton post, parce qu'il n'en a aucun.

Mais.

Je veux te dire que je joue en boucle ton message sur mon répondeur depuis hier et que je ris à en pleurer à chaque fois. Merci beaucoup!!!!!! On dirait vraiment un extrait du Rap à Billy!!

My God. Je le réécoute à l'instant, pu capable d'attendre.