Marcher dans la ville, cartographie mentale des rues. Pour rentrer, se laisser glisser vers l’enseigne jaune au bas de la côte, vers le lavoir. Marcher l’hiver, sous la neige.
Passez par Châteaubriand, coupez en direction de Rivard. Stationnement du sanctuaire. Puis, le métro. Après le métro, Berri. Puis, remontez vers Mont-Royal. S’il faut descendre quand le retour se fait, il faut monter maintenant. Aller-retour.
Pas très loin. Plus qu’un coin : Saint-Denis. Maintenant, descendez vers le centre. Pas trop loin ! 3 portes, pas plus. Trois heures plus tard, nous remontons Saint-Denis, jusqu’à Laurier. De là ? Jusqu’à Clark, puis Fairmount, puis l’avenue du Parc.
Petite pause papotage. Nos plantes vertes se meurent, elles ont froid.
En route vers la maison. Villeneuve, vers Saint-Laurent. Partout, de la gadoue sur les trottoirs. Vers Marie-Anne. Toujours cette question en tête : est-ce qu’il faudrait tout d’abord traverser Saint-Laurent ou plutôt traverser Marie-Anne puis Saint-Laurent d’une seule traite ?
De toute façon, c’est fait. Avez-vous remarqué la côte sur Marie-Anne ?Rue Étroite, maisons cornues. Dans la côte, descendez. Il neige ce soir, c’est humide.
1 commentaire:
maridjotte
il y a quelque chose de fondamentalement déprimant dans ton "S’il faut descendre quand le retour se fait, il faut monter maintenant. Aller-retour."
oui parce que ça signifie que tu trouves la paix intérieure uniquement si tu habites dans un trou !! non franchement maridjo !!... sans oublier que le retour = retour à la case départ... tu rentres à la casa !Mais qui était aussi le point de départ !!!
AHAHAHAHAHAHAHAHAH (cri diabolique !!)
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