samedi 12 juillet 2008

Délire / exercice de style

Rien à voir ni à faire parce que c'est samedi et que tout le monde est parti. Pas d'idée, pas d'idée, pas d'idée.

Leonard Cohen a dit qu'écrire est un métier et qu'il faut le pratiquer tous les jours. J'échoue alors.

Donc, donc, donc, maison vide de toute vie. Bordel dans la cuisine. Des descriptions, encore, je sais. J'aimerais bien avoir de belles, nobles et grandes idées mais ce n'est pas ma tasse de thé. Aucune prétention...sauf peut-être celle d'avoir lu quelques livres.

Poésie, opésie, oépsie...beuh.

Cette superbe réflexion sur l'état des choses se fait sur la véranda bleue. Les chaises éparpillées de la dernière soirée fondent un peu sous le soleil et les lanternes n'éclairent rien. Pas de panique, ce n'est rien de poétique: il est presque midi.

Je me demande: est-ce que les aires de circulation d'une maison comptent quand on dit combien de pièces il y a?

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