Des étalages de verdure.
Des blancheurs de galerie.
Du fer forgé et des palissades.
Il faut toujours regarder la nuit.
De la verdure noire et bleue.
On se demande pourquoi ne pas venir plus souvent.
Tous les chemins sont possibles vers le sud.
Tous les chemins sont possibles vers le nord.
Ils se zigzaguent dans tous les coins.
Plus longs, dégrisants.
Vivifiants.
samedi 23 juin 2007
vendredi 15 juin 2007
Toujours pas envie d'aller dormir...
C'est chronique...
J'ai fumé, mangé et bu. Ça bouillonne dans ma tête. Les idées se bousculent et je n'arrive pas à les ordonner. Les touches de mon clavier sont toutes effacées, je suis sur le pilote automatique.
Je pourrais vous parler de notre flat et de notre nuit à Drummond, au motel Blanchet. Je pourrais aussi vous parler de notre cuite de 12 heures samedi. Mais je ne sais absolument pas par où commencer. Ça tombe bien , j'ai toute la nuit. Demain j'irai m'étendre dans l'herbe, faire le plein de vitamine D. Je suis oisive et j'en profite. Je me repose. Il m'a fallu un mois pour commencer à me reposer. Une petite nature sommeille en moi.
Il y a un bruit de climatiseur qui ronronne dans la cour. Le bruit des touches qui cliquent, claquent. Quelques murmures automobiles ont des échos. L'ordinateur se ventile et se confond dans le bourdonnement du dehors. Il fait nuit partout sauf dans le blanc de ma chambre. Il ne fait bruit que dans ma tête.
J'ai défait mes cheveux.
J'ai fumé, mangé et bu. Ça bouillonne dans ma tête. Les idées se bousculent et je n'arrive pas à les ordonner. Les touches de mon clavier sont toutes effacées, je suis sur le pilote automatique.
Je pourrais vous parler de notre flat et de notre nuit à Drummond, au motel Blanchet. Je pourrais aussi vous parler de notre cuite de 12 heures samedi. Mais je ne sais absolument pas par où commencer. Ça tombe bien , j'ai toute la nuit. Demain j'irai m'étendre dans l'herbe, faire le plein de vitamine D. Je suis oisive et j'en profite. Je me repose. Il m'a fallu un mois pour commencer à me reposer. Une petite nature sommeille en moi.
Il y a un bruit de climatiseur qui ronronne dans la cour. Le bruit des touches qui cliquent, claquent. Quelques murmures automobiles ont des échos. L'ordinateur se ventile et se confond dans le bourdonnement du dehors. Il fait nuit partout sauf dans le blanc de ma chambre. Il ne fait bruit que dans ma tête.
J'ai défait mes cheveux.
quatre bonnes choses de faites
CV? check.
email à Sophie? check.
lettre de démission? check.
bronzage? check.
email à Sophie? check.
lettre de démission? check.
bronzage? check.
lundi 11 juin 2007
Faire son cv...
Ça me donne la nausée...
Récapitulons.
Diplôme d'études collégiales au chic CEGEP de Maisonneuse en littérature.
Diplôme d'études universitaires à la chic université de Montréal en histoire de l'art.
Quelques heures de bénévolat, quelques expériences dans des camps de jour, des jobs de caissières, des jobs dans des cafés et restos et...une seule expérience professionnelle qui me fait faire des cauchemars et qui est la cause de mon brun-out!!!
COMMENT ON FAIT ÇA UN CV!!!???? %?&?&*?*(&*(*?%?&&%?$%$?%$? GRRRRRRR...
Récapitulons.
Diplôme d'études collégiales au chic CEGEP de Maisonneuse en littérature.
Diplôme d'études universitaires à la chic université de Montréal en histoire de l'art.
Quelques heures de bénévolat, quelques expériences dans des camps de jour, des jobs de caissières, des jobs dans des cafés et restos et...une seule expérience professionnelle qui me fait faire des cauchemars et qui est la cause de mon brun-out!!!
COMMENT ON FAIT ÇA UN CV!!!???? %?&?&*?*(&*(*?%?&&%?$%$?%$? GRRRRRRR...
mercredi 6 juin 2007
Le complexe de la bibliothèque
Événement fort important dans ma vie pas très remplie ces jours-ci...
Il faudrait bien que je sorte de temps en temps, sinon je vais encore retomber dans la spirale infernale de compter les jours où je ne sors pas et franchement, c'est déprimant pour moi et plate à lire pour vous...
Mais là n'est pas la question.
J'AI FINI DE REMPLIR MA BILBIOTHÈQUE!!! Et il faut que j'en achète une deuxième parce que, franchement, il reste pas assez de place. C'est long et chiant sortir tous ses livres mais ô combien satisfaisant...
Il a fallu que je repense tout mon système de classement parce que l'ancienne méthode était chiante et un peu trop obsessive-compulsive: il fallait classer les bouquins par maison d'édition, puis par ordre alphabétique d'auteur. Mais si certains auteurs se répétaient dans deux (ou trois, ou quatre...) maisons d'édition, il fallait regrouper les auteurs dans une autre catégorie en ordre alphabétique de titre. Ça faisait un bel effet ordonné et comme je maîtrisais à merveille mon petit tri schizophrène, je pouvais trouver n'importe quoi, de n'importe qui et ce, à tout moment...
Cette fois, par contre, je suis allée au plus simple (et plus sensé aux yeux de certains): ordre alphabétique par auteur...en mettant en ordre de titre quand l'auteur se répète, naturellement. Sauf qu'il manque un peu d'ordre...tous les livres sont de taille différente et je ne sais pas encore si ce sera agréable pour mes petits yeux!
Il n'y a que Mary Higgins Clarke qui traîne nonchalemment (saupoudré d'une petite dose de plaisir coupable...) au bout d'une tablette: je DOIS le rendre à ma mère. Hum, hum, ce bouquin rentre dans la catégorie "lecture de chalet"...
Mais ce que j'aime le plus, ce sont mes gros livres d'art...Ils sont beaux...ils sont colorés et on y trouve toujours quelque chose pour remonter le moral ou pour divertir les yeux quand on ne veut pas réfléchir. Ceux là ne sont pas vraiment classés en ordre. Ils sont classés par ceux que je préfère!!! Héhéhéhé.
Je voulais être écrivain mais j'ai aussi, pendant un temps (c'est même écrit dans mon album de finissante), caressé le rêve de faire une maîtrise en bibliothéconomie, oui! oui!!! Ouch.
Les historiens de l'art sont fous. J'en suis une, je peux vous le garantir.
Il faudrait bien que je sorte de temps en temps, sinon je vais encore retomber dans la spirale infernale de compter les jours où je ne sors pas et franchement, c'est déprimant pour moi et plate à lire pour vous...
Mais là n'est pas la question.
J'AI FINI DE REMPLIR MA BILBIOTHÈQUE!!! Et il faut que j'en achète une deuxième parce que, franchement, il reste pas assez de place. C'est long et chiant sortir tous ses livres mais ô combien satisfaisant...
Il a fallu que je repense tout mon système de classement parce que l'ancienne méthode était chiante et un peu trop obsessive-compulsive: il fallait classer les bouquins par maison d'édition, puis par ordre alphabétique d'auteur. Mais si certains auteurs se répétaient dans deux (ou trois, ou quatre...) maisons d'édition, il fallait regrouper les auteurs dans une autre catégorie en ordre alphabétique de titre. Ça faisait un bel effet ordonné et comme je maîtrisais à merveille mon petit tri schizophrène, je pouvais trouver n'importe quoi, de n'importe qui et ce, à tout moment...
Cette fois, par contre, je suis allée au plus simple (et plus sensé aux yeux de certains): ordre alphabétique par auteur...en mettant en ordre de titre quand l'auteur se répète, naturellement. Sauf qu'il manque un peu d'ordre...tous les livres sont de taille différente et je ne sais pas encore si ce sera agréable pour mes petits yeux!
Il n'y a que Mary Higgins Clarke qui traîne nonchalemment (saupoudré d'une petite dose de plaisir coupable...) au bout d'une tablette: je DOIS le rendre à ma mère. Hum, hum, ce bouquin rentre dans la catégorie "lecture de chalet"...
Mais ce que j'aime le plus, ce sont mes gros livres d'art...Ils sont beaux...ils sont colorés et on y trouve toujours quelque chose pour remonter le moral ou pour divertir les yeux quand on ne veut pas réfléchir. Ceux là ne sont pas vraiment classés en ordre. Ils sont classés par ceux que je préfère!!! Héhéhéhé.
Je voulais être écrivain mais j'ai aussi, pendant un temps (c'est même écrit dans mon album de finissante), caressé le rêve de faire une maîtrise en bibliothéconomie, oui! oui!!! Ouch.
Les historiens de l'art sont fous. J'en suis une, je peux vous le garantir.
la vie est un concours d'incertitude dans le choix d'un métier (mettons)
J’ai revu l’Auberge Espagnole dernièrement et j’ai eu envie de vouloir encore devenir écrivain. Même si ça ne risque pas (ou plus d’arriver…).
Chaque fois que je vois ce film, je me revois, à dix-sept ans (pleine d’arrogance et de fausse confiance en moi), gueulant à tue-tête dans les rues de New York que je serais la prochaine Michel Tremblay et blablablaaaaaaa. Tout ça devant une caméra qui tentait de réaliser un documentaire sur les adolescents (je crois…). S’il fallait que ces longues minutes pendant lesquelles je parle de littérature sortent de leur néant ou que ces encore plus longues minutes pendant lesquelles je me pâmais sur le lieutenant Dan (l’estropié méchant au cœur tendre quand même dans Forrest Gump…) en racontant à quel point il était cool et beau et courageux etc…(Si j’avais su qu’il jouerait dans CSI : New York, j’aurais peut-être été moins fan…)...s'il fallait que ces images ressurgissent, j’irais, en courant, me jeter dans le fleuve en jaquette et en pantoufles de panda, c’est promis.
Pardon, la dernière phrase était particulièrement longue et touffue…je vais essayer de ne plus le refaire à l’avenir.
Mein Gott !
Bref, l’Auberge Espagnole me donne envie de devenir écrivain. Je voulais être écrivain à dix-sept ans. Je ne suis toujours qu’un écrivain du dimanche. J’ai choisi l’histoire de l’art plutôt que de continuer en littérature. Bah, un métier incertain comme la littérature doit être remplacé par quelque chose qui puisse mettre le pain sur la table, non ? Héhéhéhé.
Je vous le dis, l’avenir n’appartient pas à ceux qui se lèvent tôt mais bien à ceux qui étudient la littérature, la création littéraire, la sexologie ou l’histoire de l’art. Ces métiers offrent des assises solides dans un monde compétitif et vorace comme le nôtre.
Si j’écrivais un roman, il serait probablement illisible : je fais beaucoup trop de dentelle dans la syntaxe et la ponctuation (c’est dépassé les prouesses formelles, non ?), et je ne pourrais pas nommer mes personnages autrement que Catherine, ce qui pourrait porter à confusion…
Voici l’exemple d’un roman où tous les personnages se nomment Catherine :
« Catherine entra dans le salon en retirant ses chaussures (des 11) et cacha l’arme du crime, une clé anglaise de laquelle elle avait pris soin d’essuyer le sang, sous le divan. Catherine (passant les doigts dans sa chevelure pour vérifier l’élasticité de ses boucles) faillit surprendre Catherine dans son geste. Si Catherine avait vu Catherine faire, Catherine n’avait rien laissé paraître. Catherine et Catherine pensaient, chacune de leur côté, à Catherine (se faisant rôtir sous les rayons de Colombie) et au chargement de denrées exotiques qu’elle allait ramener. Catherine (en voyage) avait vu, avant de partir, Catherine (un médecin) pour être certaine d’être immunisée contre les moustiques. Catherine (médecin) avait voulu demander conseil à sa voisine Catherine mais celle-ci n’avait pas répondu à ses appels (tuée par l’arme du crime cachée sous le divan). Morale de cette histoire : Catherine a été tuée par Catherine parce qu’il y a trop de Catherine dans ce monde ???? »
Je tiens à mentionner qu’aucune Catherine n’a été endommagée pendant l’imagination de cette histoire. Et que toutes ces Catherine sont des personnages FICTIFS (euh, hum, presque…).
Je parlais de quoi déjà ? Vous savez, avant le délire ??
Je ne sais plus…
Chaque fois que je vois ce film, je me revois, à dix-sept ans (pleine d’arrogance et de fausse confiance en moi), gueulant à tue-tête dans les rues de New York que je serais la prochaine Michel Tremblay et blablablaaaaaaa. Tout ça devant une caméra qui tentait de réaliser un documentaire sur les adolescents (je crois…). S’il fallait que ces longues minutes pendant lesquelles je parle de littérature sortent de leur néant ou que ces encore plus longues minutes pendant lesquelles je me pâmais sur le lieutenant Dan (l’estropié méchant au cœur tendre quand même dans Forrest Gump…) en racontant à quel point il était cool et beau et courageux etc…(Si j’avais su qu’il jouerait dans CSI : New York, j’aurais peut-être été moins fan…)...s'il fallait que ces images ressurgissent, j’irais, en courant, me jeter dans le fleuve en jaquette et en pantoufles de panda, c’est promis.
Pardon, la dernière phrase était particulièrement longue et touffue…je vais essayer de ne plus le refaire à l’avenir.
Mein Gott !
Bref, l’Auberge Espagnole me donne envie de devenir écrivain. Je voulais être écrivain à dix-sept ans. Je ne suis toujours qu’un écrivain du dimanche. J’ai choisi l’histoire de l’art plutôt que de continuer en littérature. Bah, un métier incertain comme la littérature doit être remplacé par quelque chose qui puisse mettre le pain sur la table, non ? Héhéhéhé.
Je vous le dis, l’avenir n’appartient pas à ceux qui se lèvent tôt mais bien à ceux qui étudient la littérature, la création littéraire, la sexologie ou l’histoire de l’art. Ces métiers offrent des assises solides dans un monde compétitif et vorace comme le nôtre.
Si j’écrivais un roman, il serait probablement illisible : je fais beaucoup trop de dentelle dans la syntaxe et la ponctuation (c’est dépassé les prouesses formelles, non ?), et je ne pourrais pas nommer mes personnages autrement que Catherine, ce qui pourrait porter à confusion…
Voici l’exemple d’un roman où tous les personnages se nomment Catherine :
« Catherine entra dans le salon en retirant ses chaussures (des 11) et cacha l’arme du crime, une clé anglaise de laquelle elle avait pris soin d’essuyer le sang, sous le divan. Catherine (passant les doigts dans sa chevelure pour vérifier l’élasticité de ses boucles) faillit surprendre Catherine dans son geste. Si Catherine avait vu Catherine faire, Catherine n’avait rien laissé paraître. Catherine et Catherine pensaient, chacune de leur côté, à Catherine (se faisant rôtir sous les rayons de Colombie) et au chargement de denrées exotiques qu’elle allait ramener. Catherine (en voyage) avait vu, avant de partir, Catherine (un médecin) pour être certaine d’être immunisée contre les moustiques. Catherine (médecin) avait voulu demander conseil à sa voisine Catherine mais celle-ci n’avait pas répondu à ses appels (tuée par l’arme du crime cachée sous le divan). Morale de cette histoire : Catherine a été tuée par Catherine parce qu’il y a trop de Catherine dans ce monde ???? »
Je tiens à mentionner qu’aucune Catherine n’a été endommagée pendant l’imagination de cette histoire. Et que toutes ces Catherine sont des personnages FICTIFS (euh, hum, presque…).
Je parlais de quoi déjà ? Vous savez, avant le délire ??
Je ne sais plus…
dimanche 3 juin 2007
Conduisez prudemment
Les pubs de vitesse au volant m'ont fait peur. Je marche à côté de mon vélo quand j'ai trop bu. Vous pouvez maintenant m'acoller l'étiquette "Adulte responsable"?
OOOOOh, j'ai la tête comme du coton, ma cervelle se heurte aux parois de mon crâne et flotte dans quelque chose qui me fait penser au formol.
Eurk.
Récapitulons.
Petit après-midi à faire du ménage avec Véro et Motard. Les livres sont placés et pas mal de vaiselle a été lavée et rangée. Pause crème glacée au soleil. Jusque là, tout allait bien...
Nous sommes remontées vers la Petite-Patrie à pied pour un souper entre amis chez Kitty (lire Catherine PP). Jusque là, je le redis, tout allait bien...
Première bouteille de vin, on rigole, on placote et on papotte en popotant.
Deuxième bouteille de vin, on mange et on dit des conneries en commentant un calendrier d'étudiants en architecture qui se sont montrés les fesses pour une levée de fonds.
Troisième bouteille de vin, on la boit, sans trop se poser de questions.
La quatrième bouteille passe dans le drain avec le fromage.
Pour bien faire, on se met à la bière.
Je ne sais plus vraiment de quoi on a parlé mais c'était bien.
Quand des paroles confuses et molles ont remplacé mon discours habituellement constructif et intelligible (I wish!), j'ai décidé qu'il était temps d'aller au lit.
Malheureusement pour moi, le destin en avait décidé autrement pour le reste de ma soirée. Mon cellulaire a composé, sans que je lui demande, le numéro d'un ami qui pendait sa crémaillère...
Je suis "allée faire un tour", question de vraiment me démolir totalement en buvant trop et en fumant juste avant de décider qu'il fallait peut-être rentrer!
Sur ces sages paroles: "Plus jamais d'alcool", je vais aller voir si mon foie fonctionne encore.
OOOOOh, j'ai la tête comme du coton, ma cervelle se heurte aux parois de mon crâne et flotte dans quelque chose qui me fait penser au formol.
Eurk.
Récapitulons.
Petit après-midi à faire du ménage avec Véro et Motard. Les livres sont placés et pas mal de vaiselle a été lavée et rangée. Pause crème glacée au soleil. Jusque là, tout allait bien...
Nous sommes remontées vers la Petite-Patrie à pied pour un souper entre amis chez Kitty (lire Catherine PP). Jusque là, je le redis, tout allait bien...
Première bouteille de vin, on rigole, on placote et on papotte en popotant.
Deuxième bouteille de vin, on mange et on dit des conneries en commentant un calendrier d'étudiants en architecture qui se sont montrés les fesses pour une levée de fonds.
Troisième bouteille de vin, on la boit, sans trop se poser de questions.
La quatrième bouteille passe dans le drain avec le fromage.
Pour bien faire, on se met à la bière.
Je ne sais plus vraiment de quoi on a parlé mais c'était bien.
Quand des paroles confuses et molles ont remplacé mon discours habituellement constructif et intelligible (I wish!), j'ai décidé qu'il était temps d'aller au lit.
Malheureusement pour moi, le destin en avait décidé autrement pour le reste de ma soirée. Mon cellulaire a composé, sans que je lui demande, le numéro d'un ami qui pendait sa crémaillère...
Je suis "allée faire un tour", question de vraiment me démolir totalement en buvant trop et en fumant juste avant de décider qu'il fallait peut-être rentrer!
Sur ces sages paroles: "Plus jamais d'alcool", je vais aller voir si mon foie fonctionne encore.
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