lundi 11 décembre 2006

Ce que j'écris quand je suis vraiment ivre

J'ai laissé ce message chez PP, vendredi soir...

«L’heure se fait tardive par un désir d’envie. C’est ainsi que se font une salutation et un détour, au hasard d’un voisinage opportun et de clefs retrouvées. L’alcool me prend dans son délire d’absence. C’est pourquoi je te salue, Catherine.

Mariedjo!

J’irai attendre dans le froid nocturne. Les odeurs sont frappantes et la couture se partage…

Il y a énigme à résoudre : tu dois trouver ce qui manque…»

TRADUCTION: il est tard, j'ai les clefs de chez PP, c'est là que je vais aller pour me soulager. Je lui laisse un petit mot au passage (ci-haut). On a le même kit de couture, je le relève mais ça n'a aucun sens, je suis saoûle...J'en ai profité pour lui voler une revue à potins...

2 commentaires:

Catherine Pépé a dit...

Hey hey wowowowo, minute la smatte...

"Les odeurs sont frappantes"...

Es-tu en train de dire que ça pu chez moi !??!!

Tu sauras, jeune fille, que je chasse les vilaines odeurs de pauvres dans mon garde-robe à coup de pouiche de mon Eau d'Issey, d'Issey Miyake.

mjo a dit...

tu sauras, jeune fille, que «des odeurs frappantes» n'ont jamais sous-entendu la puanteur...