mercredi 7 mai 2008

Côté cour, côté quétaine

Samson, de Regina Spektor, ça me déchire l'intérieur.

2 commentaires:

Anonyme a dit...

oui... et cela m'accompagne bien à mon retour d'un lieu de transit, lieu si impersonnel, et pourtant qui offre si souvent les mots et les étreintes d'habitude retenus... (je reviens de l'aéroport !lol!)

mjo a dit...

C'est d'une grande mélancolie, tout ça. Avec la pluie qui tombe, tout respire les souvenirs. Ces étreintes sont les plus fortes.