Coici ce aue cq donne sur un clqvier frqncqis;;;
C.est fou: un peu ,!lqnfeqnt ,qis bon;
Voici ce que ça donne sur un clavier français.
C'est fou, un peu mélangeant, mais bon!
samedi 29 novembre 2008
jeudi 27 novembre 2008
St-Laurent frappé
Quand les glaces commencent à fondre au printemps, elles font un bruit cristallin, comme des clochettes. Elles s'affalent et cassent le long des rochers qui coupent la plage en deux. J'aimerais être déjà là et voir le lac tomber, dans un bruit de tonnerre. Le silence feutré du bois me manque. Le poids du silence et de la neige me manquent. Ce n'est pas triste. Du moins, pas tout à fait. Froid dehors et chaud dedans...
Jeudi
Je vous conseille fortement d'écouter Inside and out de Feist...
Tellement quétaine mais ô combien efficace...
Chikatchic!!! Aaaaah!
Tellement quétaine mais ô combien efficace...
Chikatchic!!! Aaaaah!
Ok
La grande question est: quand est-ce que je commence à ne plus fumer? Est-ce qu'il y a une marche à suivre ou est-ce que j'arrête, tout simplement?
Est-ce que la gomme Trill ça existe encore? Vous savez, la gomme mauve qui goûtait le savon? Mon père mâchait ça quand il a arrêté de fumer. Je devais avoir environ 5 ou 6 ans et je lui avait dit, le plus sérieusement du monde, que pour l'encourager, j'arrêterais de me fouiller dans le nez...
C'était de sages paroles: il a arrêté de fumer, j'ai arrêté de me décrotter le nez et j'ai appris à me servir de mouchoirs à la place.
Est-ce que la gomme Trill ça existe encore? Vous savez, la gomme mauve qui goûtait le savon? Mon père mâchait ça quand il a arrêté de fumer. Je devais avoir environ 5 ou 6 ans et je lui avait dit, le plus sérieusement du monde, que pour l'encourager, j'arrêterais de me fouiller dans le nez...
C'était de sages paroles: il a arrêté de fumer, j'ai arrêté de me décrotter le nez et j'ai appris à me servir de mouchoirs à la place.
mercredi 26 novembre 2008
Vraiment
Faut vraiment, vraiment, vraiment que j'arrête: je siffle quand je respire et j'ai mal aux poumons. Je suis sûre que j'ai mal aux poumons, entoucas, j'ai mal dans quelque chose qui ressemble à l'emplacement d'un poumon chez une personne normalement constituée. Mal de gorge en plus...début de rhume...reuuuuuh.
Ok, mjo, prend sur toi pis va te chercher des patches, de la gomme et affronte le manque!!!
Raaaaaah
Ok, mjo, prend sur toi pis va te chercher des patches, de la gomme et affronte le manque!!!
Raaaaaah
mardi 25 novembre 2008
Mission (im)possible?
Arrêter de fumer - mon nouvel objectif
Si vous avez des trucs ou des recettes de grand-mère, je suis ouverte à toutes les éventualités.
Si vous avez des trucs ou des recettes de grand-mère, je suis ouverte à toutes les éventualités.
Horrrrreur
Cherche films d'horreur pour entrer bien comme il faut dans l'hiver...tous genres confondus. Suggestions?? Hier après-midi, c'était le marathon du mauvais film, j'aime bien. Et oui, je me cache les yeux ou je change de poste mais j'aime bien avoir un peu peur et ensuite me promener dans la grande et vieille maison qui craque et avoir la chair de poule parce qu'il fait noir et parce qu'un monstre, zombie ou vampire ou quelconque démon, peut surgir n'importe quand.
Ouuuuh
Ouuuuh
dimanche 23 novembre 2008
C'est la fête à Jésus
"Je pense que Jésus ne pourra pas venir à notre party du jour de l'an...C'est dommage, c'est vraiment lui que j'avais envie de frencher...Mais il doit avoir vraiment trop de party en même temps
-C'est dommage, c'est toujours bien cool d'avoir un grand barbu qui fait des miracles avec ses mains..."
Délire du dimanche après-midi entre ama et mjo
-C'est dommage, c'est toujours bien cool d'avoir un grand barbu qui fait des miracles avec ses mains..."
Délire du dimanche après-midi entre ama et mjo
vendredi 21 novembre 2008
Beuuuuh
Méga mal au coeur depuis une semaine et demi. Tout le temps. Beuh, c'est bizarre. Et non, pour votre information, je ne suis pas enceinte. Mais j'ai mal au coeur: la bouche qui se remplit toute seule dans le bus ou le métro. Les jambes qui filent en coton. Beuh. Des haut-le-coeur. Je ne sais pas si je dois y mettre un s ou non. J'ai plein de choses à faire, la tête à trois places et mal au cou.
Quelqu'un m'a dit que le corps reproduit son stress. C'est ça, je crois.
La lumière est belle mais froide. C'est comme quand il y a de la neige. Aveuglant, mais bref. On ne peut pas y échapper. À moins (unless), de partir très tôt vers six heures puis de ressortir à 5 heures le soir. Comme pendant l'université, avec le vent qui soufflait dans la grotte de Jean-Brillant. On tapait les mitaines ensemble, on trottait sur place pour ne pas se geler les pieds et on émergeait tranquillement du sommeil. Dehors dans le froid, avec manteaux, tuques et tasses fumantes. Pour le moment, la cuisine est lumineuse.
Quelqu'un m'a dit que le corps reproduit son stress. C'est ça, je crois.
La lumière est belle mais froide. C'est comme quand il y a de la neige. Aveuglant, mais bref. On ne peut pas y échapper. À moins (unless), de partir très tôt vers six heures puis de ressortir à 5 heures le soir. Comme pendant l'université, avec le vent qui soufflait dans la grotte de Jean-Brillant. On tapait les mitaines ensemble, on trottait sur place pour ne pas se geler les pieds et on émergeait tranquillement du sommeil. Dehors dans le froid, avec manteaux, tuques et tasses fumantes. Pour le moment, la cuisine est lumineuse.
jeudi 20 novembre 2008
Identité
"Je suis une schizophrène identitaire
- Ah, bon? Toi aussi?! Ils veulent que je prenne des médicaments mais je ne veux pas!
- Euh, en fait, ce qui était important dans ce que je viens de dire, c'était identitaire..."
Conversation de coin de rue avec un presque parfait inconnu, dans le froid, pas très loin de Berri-UQAM.
- Ah, bon? Toi aussi?! Ils veulent que je prenne des médicaments mais je ne veux pas!
- Euh, en fait, ce qui était important dans ce que je viens de dire, c'était identitaire..."
Conversation de coin de rue avec un presque parfait inconnu, dans le froid, pas très loin de Berri-UQAM.
mardi 18 novembre 2008
Tard le soir
Pas tant que ça mais c'est mardi et il annonce froid demain. Après le choc, il faut retourner dans l'observation et la translation, déplacer les objectifs et incidemment, sonner faux.
Observation, retranscription. Un nouvel hiver s'amorce. Serait-il possible d'écrire celui-ci? Oui, le froid s'en vient. On va pouvoir aller jouer dans la neige!
Bonne nuit...
Observation, retranscription. Un nouvel hiver s'amorce. Serait-il possible d'écrire celui-ci? Oui, le froid s'en vient. On va pouvoir aller jouer dans la neige!
Bonne nuit...
lundi 17 novembre 2008
vendredi 14 novembre 2008
Oups
Après les fours à convection, il y a les fours à conviction... Êtes-vous certains de vouloir y faire rôtir votre dinde?
À moins de cuire, sans conviction, dans un four à convection? Cuire, sans convection, dans un four à conviction?
- Hein, quoi?
- Non, rien.
À moins de cuire, sans conviction, dans un four à convection? Cuire, sans convection, dans un four à conviction?
- Hein, quoi?
- Non, rien.
mercredi 12 novembre 2008
Avant de partir
Mots croisés du journal Métro du 12 novembre 2008
Au crépuscule, il y eut une hérésie sur l'acre. Avant l'aven, nous devons être stables et faire preuve de muscle à défaut d'avoir un caractère liant. PS, l' hostilité est un couteau bien peu acéré et sa gloriole n'a rien de net. Je sue quand je vois l'arme que l'OTAN tend. C'est in d'être nageur mais il n'en émane rien. Léo fera empeser ses chemises et je serai vernie s'il n'est pas étêté. Les champignons ont poussé mais je ne les ai pas revus à cause d'une maladie létale qui, depuis des ères, ravage le potager. Il faut se pencher pour échapper à la coupure du néon. Il est dans nos us de garder nos louis en poche. Ces poches sont sises dans mon manteau. Je suis outrée de cet adage. La pomme est talée et Alice s'est fait manger son goûter par la nèpe labile. Il admet ses torts et prétend nous éclairer mais tout cela a un goût bien amer, celui de l'ase. Ma rente ne m'achèterais même pas un minet et la peste génère la honte.
Au crépuscule, il y eut une hérésie sur l'acre. Avant l'aven, nous devons être stables et faire preuve de muscle à défaut d'avoir un caractère liant. PS, l' hostilité est un couteau bien peu acéré et sa gloriole n'a rien de net. Je sue quand je vois l'arme que l'OTAN tend. C'est in d'être nageur mais il n'en émane rien. Léo fera empeser ses chemises et je serai vernie s'il n'est pas étêté. Les champignons ont poussé mais je ne les ai pas revus à cause d'une maladie létale qui, depuis des ères, ravage le potager. Il faut se pencher pour échapper à la coupure du néon. Il est dans nos us de garder nos louis en poche. Ces poches sont sises dans mon manteau. Je suis outrée de cet adage. La pomme est talée et Alice s'est fait manger son goûter par la nèpe labile. Il admet ses torts et prétend nous éclairer mais tout cela a un goût bien amer, celui de l'ase. Ma rente ne m'achèterais même pas un minet et la peste génère la honte.
Des heures et des leurres de plaisir
Wow, je joue avec la mise en page et les couleurs. Je suis une virtuose du blogue. Non mais, hein!
Bonne habitude à perdre: fumer une clope avant de commencer la journée. Je vais aller fumer avant de commencer la journée.
Ce qui est bien: il n'y aura aucun incitatif pour fumer à la maison, la porte du balcon arrière sera isolée et plastiquée pour l'hiver.
Bonne habitude à perdre: fumer une clope avant de commencer la journée. Je vais aller fumer avant de commencer la journée.
Ce qui est bien: il n'y aura aucun incitatif pour fumer à la maison, la porte du balcon arrière sera isolée et plastiquée pour l'hiver.
Rouge sang
5 jours que ça dure. Toujours pas de trève en vue. Elle va mourir au bout de son sang si ça continue comme ça.
mardi 11 novembre 2008
Est-ce que quelqu'un peut m'éclairer?
Comment on fait pour perdre son chèque de paye? J'aimerais bien qu'on m'explique comment fonctionne ma tête.
Comment on fait pour être ordonné?
Est-ce que c'est inné?
Comment, hein?
Comment on fait pour être ordonné?
Est-ce que c'est inné?
Comment, hein?
lundi 10 novembre 2008
Encore un peu d'octobre
Dans le carnet...
13 octobre 2008
C'est immanquable, je finis toujours au même endroit, dans le Vieux-Montréal. Peut-être que notre histoire dort sous ces pavés qui se déboîtent et s'abîment. Je n'ai pas d'argent pour les mendiants et les touristes envahissent la Place d'Armes. Juste devant, la basilique, juste derrière, la Banque de Montréal et sa coupole. Je ne sais pas combien de temps je resterai ici. Il est deux heures et demi et personne ne viendra me parler. J'ai fait la famille buissonière, pas d'Action de grâce pour moi cette année.
L'envie de me jeter devant une voiture persiste mais ne me fait pas peur. Je ne veux pas mourir, je veux juste être blessée. J'ignore pourquoi. Je ne sais pas non plus pourquoi je ne sais plus pleurer à volonté. J'ai le coeur sec: rien n'est laid mais rien n'est si beau non plus. Ce sont mes pieds qui m'ont menée ici, je prendrai le métro pour rentrer.
Toujours le 13 octobre...
Des amoureux et des tourites, des touristes amoureux. J'ai zigzagué dans les ruelles de Westmount et je ne me sens toujours pas le droit de pleurer. C'est la rupture d'automne, une séparation qui sent l'hiver et les longues nuits froides. Des plans du centre-ville se déplient et il fait plus froid quand on ne bouge pas. J'observe cette femme en verre, toute de vert vêtue, plus loin sur les bancs.
Il est bon de se réchauffer les tripes devant une soupe chaude.
Aujourd'hui, je passerai par toutes les couleurs. Pas de poésie en vue. Peut-être un match d'impro ce soir. bientôt, il y aura de la soupe tonkinoise sur la table. Le thé au jasmin y est déjà. Il faudrait que les odeurs déclenchent des souvenirs. Je fume trop, je ne sens presque plus.
Écrire est tout sauf une fin en soit. C'est peut-être une faim en soie?
Entre des murs verts, sur une table verte, une écriture verte quand plus rien ne verdoie au dehors.
13 octobre 2008
C'est immanquable, je finis toujours au même endroit, dans le Vieux-Montréal. Peut-être que notre histoire dort sous ces pavés qui se déboîtent et s'abîment. Je n'ai pas d'argent pour les mendiants et les touristes envahissent la Place d'Armes. Juste devant, la basilique, juste derrière, la Banque de Montréal et sa coupole. Je ne sais pas combien de temps je resterai ici. Il est deux heures et demi et personne ne viendra me parler. J'ai fait la famille buissonière, pas d'Action de grâce pour moi cette année.
L'envie de me jeter devant une voiture persiste mais ne me fait pas peur. Je ne veux pas mourir, je veux juste être blessée. J'ignore pourquoi. Je ne sais pas non plus pourquoi je ne sais plus pleurer à volonté. J'ai le coeur sec: rien n'est laid mais rien n'est si beau non plus. Ce sont mes pieds qui m'ont menée ici, je prendrai le métro pour rentrer.
Toujours le 13 octobre...
Des amoureux et des tourites, des touristes amoureux. J'ai zigzagué dans les ruelles de Westmount et je ne me sens toujours pas le droit de pleurer. C'est la rupture d'automne, une séparation qui sent l'hiver et les longues nuits froides. Des plans du centre-ville se déplient et il fait plus froid quand on ne bouge pas. J'observe cette femme en verre, toute de vert vêtue, plus loin sur les bancs.
Il est bon de se réchauffer les tripes devant une soupe chaude.
Aujourd'hui, je passerai par toutes les couleurs. Pas de poésie en vue. Peut-être un match d'impro ce soir. bientôt, il y aura de la soupe tonkinoise sur la table. Le thé au jasmin y est déjà. Il faudrait que les odeurs déclenchent des souvenirs. Je fume trop, je ne sens presque plus.
Écrire est tout sauf une fin en soit. C'est peut-être une faim en soie?
Entre des murs verts, sur une table verte, une écriture verte quand plus rien ne verdoie au dehors.
Juste une retranscription
Dépression saisonnière, dépressive du dimanche, avec des interrogations niaiseuses et futiles. Le tout un peu fleur bleue, quand on en vient à se demander: "Mais à quel moment sautera-t-elle devant le métro? Ça commence à bien faire!"
Alors, cela va comme suit, quelques jours en octobre, pendant que les draps se lavent. D'ailleurs, je veux dire bonjour à la maman de Jenn qui revient nous rendre visite!
Je ne change rien.
11 octobre 2008
Samedi, longue fin de semaine de l'Action de grâce. Au carré St-Louis, du sang entre les jambes. Une coupe recueille le sang et je rejoue la scène de Psycho sous la douche, du sang épais et noir qui coule partout.
Le bassin est bleu-gris et les feuilles, pas encore tombées.
16 octobre 2008
Rue Fairmount, entre Waverly et de l'Esplanade. Là où une synagogue est devenue le Collège Français. Depuis cinq jours, il pleut et virevolte des feuilles dans tous les sens. Interruption: téléphone et quémandeur de feu.
18 octobre 2008
Un joint et une table à pique-nique sur le Mont-Royal. Les corneilles se chicanent et tout le monde marche d'un pas énergique, comme s'il restait un peu d'été en eux. Un joint à deux pas du Lac des Castors. Fumer en toute impunité, en plein coeur du poumon de la ville, une vieille habitude. Ça relève du rituel, en fait. Il fait froid quand on ne bouge pas. Je prends la pause pose. Rouge est la bonne couleur. Pourquo aime-t-on le rouge? Dans le parc des sculptures, les gens s'entrephotographient. Il y a les sportis et les comme-à-la-ville, des familles et des couples. Peu de gens seuls. Il faut écrire plus petit pour économiser l'écran, euh non, l'espace. En plein soleil éblouissant, une mare de lumière sur la table. C'est aussi un rayon chaud pour ma main qui tremble, qui n'a plus l'habitude d'écrire. C'est n'importe quoi. Une sculpture est en granit, un gros bloc, Saint-Granit, comme dans les Pierrafeu.
Ma clope éloigne les gens.
L'enfant est tombé dans les feuilles, en pleine face.
J'aime la poésie parce que c'est aussi des formes. Ce sont des formes, une structure. Comme un squelette sur lequel on peut tout faire.
Un voyageur et un Montréalais, ou deux voyageurs qui parlent d'ailleurs, de Terre-Neuve. C'est un beau nom, j'imagine le brouillard.
Soudain, en enfant est tombé en pleine face dans les feuilles.
Enfant tombé en pleine face dans les feuilles. Alexandrin et alitération.
Au parc pour écrire.
Je suis la solitaire qui sort rarement seule.
Les mains de Mjo sont gelées.
Un groupe de gens, tous habillés en blanc.
Alors, cela va comme suit, quelques jours en octobre, pendant que les draps se lavent. D'ailleurs, je veux dire bonjour à la maman de Jenn qui revient nous rendre visite!
Je ne change rien.
11 octobre 2008
Samedi, longue fin de semaine de l'Action de grâce. Au carré St-Louis, du sang entre les jambes. Une coupe recueille le sang et je rejoue la scène de Psycho sous la douche, du sang épais et noir qui coule partout.
Le bassin est bleu-gris et les feuilles, pas encore tombées.
16 octobre 2008
Rue Fairmount, entre Waverly et de l'Esplanade. Là où une synagogue est devenue le Collège Français. Depuis cinq jours, il pleut et virevolte des feuilles dans tous les sens. Interruption: téléphone et quémandeur de feu.
18 octobre 2008
Un joint et une table à pique-nique sur le Mont-Royal. Les corneilles se chicanent et tout le monde marche d'un pas énergique, comme s'il restait un peu d'été en eux. Un joint à deux pas du Lac des Castors. Fumer en toute impunité, en plein coeur du poumon de la ville, une vieille habitude. Ça relève du rituel, en fait. Il fait froid quand on ne bouge pas. Je prends la pause pose. Rouge est la bonne couleur. Pourquo aime-t-on le rouge? Dans le parc des sculptures, les gens s'entrephotographient. Il y a les sportis et les comme-à-la-ville, des familles et des couples. Peu de gens seuls. Il faut écrire plus petit pour économiser l'écran, euh non, l'espace. En plein soleil éblouissant, une mare de lumière sur la table. C'est aussi un rayon chaud pour ma main qui tremble, qui n'a plus l'habitude d'écrire. C'est n'importe quoi. Une sculpture est en granit, un gros bloc, Saint-Granit, comme dans les Pierrafeu.
Ma clope éloigne les gens.
L'enfant est tombé dans les feuilles, en pleine face.
J'aime la poésie parce que c'est aussi des formes. Ce sont des formes, une structure. Comme un squelette sur lequel on peut tout faire.
Un voyageur et un Montréalais, ou deux voyageurs qui parlent d'ailleurs, de Terre-Neuve. C'est un beau nom, j'imagine le brouillard.
Soudain, en enfant est tombé en pleine face dans les feuilles.
Enfant tombé en pleine face dans les feuilles. Alexandrin et alitération.
Au parc pour écrire.
Je suis la solitaire qui sort rarement seule.
Les mains de Mjo sont gelées.
Un groupe de gens, tous habillés en blanc.
Sexy as can be
Entre James bond, le lavage et le petit café, je me promène nonchalamment dans une tenue étourdissante...
Si seulement j'avais un appareil photo...pyjama bleu poudre, t-shirt saumon, veste verte et orange et cheveux en moton.
Si des colporteurs ou des témoins de Jéhovah se présentent, ça ne sera pas trop difficile de les faire fuire!
C'est ce que Cpp et ses amis appellent le "moment humilité". Je suis humble, humble as can be!
Si seulement j'avais un appareil photo...pyjama bleu poudre, t-shirt saumon, veste verte et orange et cheveux en moton.
Si des colporteurs ou des témoins de Jéhovah se présentent, ça ne sera pas trop difficile de les faire fuire!
C'est ce que Cpp et ses amis appellent le "moment humilité". Je suis humble, humble as can be!
Comment je vais faire??
Il y a un marathon James Bond à la télé!! J'ai vraiment plein de ménage et de courses à faire!! Mais comment résister à Roger Moore ou Sean Connery?
La vie est vraiment trop injuste, Calimero avait totalement raison.
La vie est vraiment trop injuste, Calimero avait totalement raison.
dimanche 9 novembre 2008
Qu'est-ce qu'on fait?
J'ai adoré sa question de vendredi: "Et toi ? Aurais-tu une propension a proposer des proposition pour de protoypes de soirées qui ne soient pas trop protocolaires ?"
Hihihi
Hihihi
Bobine
Ça me donne envie de danser. C'était la petite folie d'un dimanche gris, du temps à tuer. Pas grand chose d'autre à dire. Demain lundi, je passe à l'attaque de la semaine, comme tout le monde. Une autre fin de semaine qui passe trop vite. Bonne fête Julia!
jeudi 6 novembre 2008
mercredi 5 novembre 2008
À défaut d'être la reine...
Je suis la princesse crottée et mal élevée des tableaux Excel. On fait ce qu'on peut!
mardi 4 novembre 2008
lundi 3 novembre 2008
La galanterie se perd
Ce ne sont plus les dames qu'on laisse passer, ce sont les vieux hargneux qui se battent et donnent des coups de canne pour avoir une place assise.
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